Présentement, on entend beaucoup parler de l'inclusion scolaire des élèves HDAA. Pour ma part, j'ai énormément de difficulté à me positionner par rapport à cette approche. J'ai l'impression que cela peut être bénéfique pour certains enfants, alors que pour d'autres non. Dans les recherches, on lit souvent que les enseignants sont réticents à favoriser l'inclusion des élèves avec des besoins particuliers. En fait, ces derniers affirment n'être pas suffisamment outillés, encadrés et soutenus pour mener à bien ce mandant exigent. Personnellement, j'ai eu l'occasion d'enseigner dans des classes difficiles, mais où tous les enfants était considérés comme "normaux". Il y a eu des moments où j'ai douté de moi, de mes capacités à établir un climat propice aux apprentissages et à le maintenir! Ce que j'ai remarqué qui m'aidait: la bonne relation que j'entretenais avec les élèves. La question que je me pose est la suivante: Un bonne relation maître-élève permet-elle toujours un bon climat de classe? Pour aller plus loin, protège-t-elle l'enseignant de l'épuisement professionnel? Certaines études placent l'enseignement en tête des dix emplois les plus stressants et mentionnent qu'un professionnel de l'éducation sur trois est à risque de faire un "burn out".
(http://archives.infobourg.com/sections/actualite/actualite.php?id=10255)
(http://archives.infobourg.com/sections/actualite/actualite.php?id=10255)
J'aimerais savoir comment éviter le surmenage, tout en étant une enseignante passionnée et qui respecte les différents styles d'apprentissage...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire